Je regardais par la fenêtre ouvertes et observais un instant les flocons tomber rapidement, valser au rythme du vent fort avant de disparaître sur le sol blanc. Je serre les bras autour de moi avant de me détourner et d’attraper les volets de bois extérieur avec le crochet en métal à cet effet. Le bois claque fort et je bloque les panneaux avant de fermer la fenêtre pour de bon. Mes grands-parents avaient rénové et maintenu cette maison dans un état impeccable, je m’écorçais de faire de même. Les volets extérieurs étaient laqués et imperméabilisés et procuraient, une fois fermés, une protection de taille contre les intempéries, comme la tempête de neige annoncée. Les volet en bois n’étaient pas juste à poser contre la fenêtre, un système de caoutchouc sur les bords permettait aussi de faire une sorte de sas étanche autour de la fenêtre. De quoi rester au sec. Je fis un dernier tour sur moi-même vérifiant bien que c’était bien la dernière fenêtre avant de reprendre les escaliers escaliers menant au rez-de-chaussée. L’étage était fermé et barricadé à double tour.
La maison était assez grande et vaste, tout comme le terrain. Dans de tel météos l’idée était de ranger et barricader au maximum et se « replier » dans les pièces principales. Les annexes de la maison avaient ainsi été fermés et mis sous clefs. La maison principale avait aussi été barricadée. Le dernier étage composé d’un grenier assez propre avait été fermé. Le premier étage composé de plusieurs chambres et pièces diverses avait été partiellement fermé. Les pièces non utilisées avaient été fermés, les chauffages éteints, les lits défaits de leurs draps et couvertures et certains même de leurs matelas. J’avais descendu tout ce qui était utilitaire comme les lampes, piles, couvertures, et avait installé dans le grand salon une sorte de campement. Des couvertures avaient été pliés, des matelas entassés et surtout des boites de piles et de petit nécessaire de premier soins. La cuisine et la cave regorgeaient de boite de conserves en tout genre. Certaines là depuis des années sans pour autant périmer, d’autre achetée depuis peux. Mes grands parents m’avaient toujours appris à acheter un ou deux boite de conserves chaque fois que je faisais des courses. En cas de tempête ou d’imprévus cela évitait de devoir se ruer aux magasins et subir les conséquences de rayonnages pillés. Sans parler des légumes et autres condiments qu’on pouvait mettre sous vide ou stocker tel que la farine ou le sucre. Combien de fois n’avais-je pas assisté mes grand-parents lors de ce genre de tempêtes ? J’étais assez fière d’avoir appris à faire comme eux et j’appréciais énormément de pouvoir maintenir cette maison comme un refuge : pas que pour les animorphes égarés dans les bois ou surpris par la météo, mais aussi pour des humains normaux : ayant tenté de bravés les routes, ne sachant pas faire demi tour ou ayant perdu leur chemin.
Je me dirigeait vers la cuisine, rejoignant mon invité de cette tempête. Au vue de la météo annoncée, impossible pour moi de laisser mon meilleur ami survivre à bord d’un navire tout seul. Si on devait subir l’isolement du à la neige, autant le subir à deux.
« Ca va, tu ne te sens pas trop à l’étroit ? »
Ma remarque était lancé sur le ton de la plaisanterie : la maison semblait tellement plus petite ainsi barricadée, mais comparé à son navire cela devait changer.
« Tu as trouvé tes marques ? »
Même si le campement avait été installé dans le salon, j’avais laissé deux chambres ne état à l’étage ; La tempête n’était pas encore installée et les chauffages pouvaient encore tourner. Ainsi Edward et moi-même avions chacun une chambre dans cette grande demeure.
La maison était assez grande et vaste, tout comme le terrain. Dans de tel météos l’idée était de ranger et barricader au maximum et se « replier » dans les pièces principales. Les annexes de la maison avaient ainsi été fermés et mis sous clefs. La maison principale avait aussi été barricadée. Le dernier étage composé d’un grenier assez propre avait été fermé. Le premier étage composé de plusieurs chambres et pièces diverses avait été partiellement fermé. Les pièces non utilisées avaient été fermés, les chauffages éteints, les lits défaits de leurs draps et couvertures et certains même de leurs matelas. J’avais descendu tout ce qui était utilitaire comme les lampes, piles, couvertures, et avait installé dans le grand salon une sorte de campement. Des couvertures avaient été pliés, des matelas entassés et surtout des boites de piles et de petit nécessaire de premier soins. La cuisine et la cave regorgeaient de boite de conserves en tout genre. Certaines là depuis des années sans pour autant périmer, d’autre achetée depuis peux. Mes grands parents m’avaient toujours appris à acheter un ou deux boite de conserves chaque fois que je faisais des courses. En cas de tempête ou d’imprévus cela évitait de devoir se ruer aux magasins et subir les conséquences de rayonnages pillés. Sans parler des légumes et autres condiments qu’on pouvait mettre sous vide ou stocker tel que la farine ou le sucre. Combien de fois n’avais-je pas assisté mes grand-parents lors de ce genre de tempêtes ? J’étais assez fière d’avoir appris à faire comme eux et j’appréciais énormément de pouvoir maintenir cette maison comme un refuge : pas que pour les animorphes égarés dans les bois ou surpris par la météo, mais aussi pour des humains normaux : ayant tenté de bravés les routes, ne sachant pas faire demi tour ou ayant perdu leur chemin.
Je me dirigeait vers la cuisine, rejoignant mon invité de cette tempête. Au vue de la météo annoncée, impossible pour moi de laisser mon meilleur ami survivre à bord d’un navire tout seul. Si on devait subir l’isolement du à la neige, autant le subir à deux.
« Ca va, tu ne te sens pas trop à l’étroit ? »
Ma remarque était lancé sur le ton de la plaisanterie : la maison semblait tellement plus petite ainsi barricadée, mais comparé à son navire cela devait changer.
« Tu as trouvé tes marques ? »
Même si le campement avait été installé dans le salon, j’avais laissé deux chambres ne état à l’étage ; La tempête n’était pas encore installée et les chauffages pouvaient encore tourner. Ainsi Edward et moi-même avions chacun une chambre dans cette grande demeure.