Je vérifiais l’état de mon fichier avant de l’enregistrer et de fermer mon ordinateur. Je pris un instant pour me frotter les yeux et déconnecter mon cerveau du travail. Cela fait je me levais pour aller me faire un casse-croûte. Il était 17h passé mais j’avais pu me permettre une journée de télétravail pour travailler sans interruption sur un tableau financier. L’autre avantage, outre l’interruption, était le fait que j’avais pu m’habiller plus simplement ce qui me convenait bien pour ce soir. Je vérifiais les informations de l’évènement sur Facebook tout en mangeant ma tartine au jambon. Tout en mangeant j’essayais de garder une respiration calme. Ce soir j’allais parler à Sad.
Nous nous étions vus plusieurs fois avec Hiba depuis cette re-rencontre dans le bar. Je l’avais appelée et nous étions sortit quelques fois. J’avais toujours peur d’en faire trop, de l’étouffer ou de profiter d’elle. Mais elle me rassurait, inconsciemment via ses paroles ou son attitude, à ce sujet. Aussi mes appels et invitations devenaient un peu plus fréquentes. J’avais décidé, malgré ma marque que je la courtiserais en bonne due et forme. Et si au début je n’avais rien laissé de romantique venir dans nos rendez-vous, me contentant d’apprendre à la connaître et d’échanger avec elle, l’envie de pousser plus loin se faisait ressentir. Mais avant d’en parler à la demoiselle, même si je savais qu’elle était une dame indépendante et que son avis à elle primait, j’avais envie et besoin de part mon éducation de demander l’autorisation à sa famille. Je savais qu’il y avait son frère. Je me voyais mal demander à Hiba d’autres coordonnées sans me vendre. Aussi j’avais cherché Sad sur le net. Je m’étais souvenu du groupe qui avait joué le soir dans le bar. J’avais cherché d’autres évènement avec eux et ce soir ils jouaient dans un autre bar. Ce soir j’irais donc parler à son frère pour avoir son autorisation de demander à Hiba un rendez-vous plus romantique.
C’est principalement pour ça que j’étais heureux d’avoir pu porter des vêtements plus casual aujourd’hui et ainsi éviter de devoir me changer. D’après la page Facebook du bar ce n’était pas un endroit pour un 3pièce. Alors, ayant simplement un t-shirt, un sweat à capuche et mon épaisse veste d’hiver. Achat nécessaire aux vue des températures canadiennes. Je pris ma voiture et me mis en route, arrive au bar quarante minutes plus tard. Je poussais la porte de l’enseigne et me réfugiait dans la chaleur bienvenue de l’endroit. Le groupe n’était pas encore là et les gens commençaient seulement à venir. J’en profitais pour m’installer au bar et commander de quoi boire. L’œil au aguets j’attendais que le groupe se montre. Mon plan était simple : attendre une pause ou une intermission pour pouvoir accoster Sad. A voir si ce sera possible.
Nous nous étions vus plusieurs fois avec Hiba depuis cette re-rencontre dans le bar. Je l’avais appelée et nous étions sortit quelques fois. J’avais toujours peur d’en faire trop, de l’étouffer ou de profiter d’elle. Mais elle me rassurait, inconsciemment via ses paroles ou son attitude, à ce sujet. Aussi mes appels et invitations devenaient un peu plus fréquentes. J’avais décidé, malgré ma marque que je la courtiserais en bonne due et forme. Et si au début je n’avais rien laissé de romantique venir dans nos rendez-vous, me contentant d’apprendre à la connaître et d’échanger avec elle, l’envie de pousser plus loin se faisait ressentir. Mais avant d’en parler à la demoiselle, même si je savais qu’elle était une dame indépendante et que son avis à elle primait, j’avais envie et besoin de part mon éducation de demander l’autorisation à sa famille. Je savais qu’il y avait son frère. Je me voyais mal demander à Hiba d’autres coordonnées sans me vendre. Aussi j’avais cherché Sad sur le net. Je m’étais souvenu du groupe qui avait joué le soir dans le bar. J’avais cherché d’autres évènement avec eux et ce soir ils jouaient dans un autre bar. Ce soir j’irais donc parler à son frère pour avoir son autorisation de demander à Hiba un rendez-vous plus romantique.
C’est principalement pour ça que j’étais heureux d’avoir pu porter des vêtements plus casual aujourd’hui et ainsi éviter de devoir me changer. D’après la page Facebook du bar ce n’était pas un endroit pour un 3pièce. Alors, ayant simplement un t-shirt, un sweat à capuche et mon épaisse veste d’hiver. Achat nécessaire aux vue des températures canadiennes. Je pris ma voiture et me mis en route, arrive au bar quarante minutes plus tard. Je poussais la porte de l’enseigne et me réfugiait dans la chaleur bienvenue de l’endroit. Le groupe n’était pas encore là et les gens commençaient seulement à venir. J’en profitais pour m’installer au bar et commander de quoi boire. L’œil au aguets j’attendais que le groupe se montre. Mon plan était simple : attendre une pause ou une intermission pour pouvoir accoster Sad. A voir si ce sera possible.