J’avais mis longtemps avant de prendre dans mes affaires le petit carnet contenant mes numéros préférés. Clyde. Je ne lui avais envoyé aucun sms depuis que j’avais fuis le domaine de la famille Thua. Je ne communiquais que par e-mail, et de différents cyber cafés, avec ma famille. Le strict minimum. Parce que je ne pouvais pas non plus tout couper ainsi… Enfin, je pouvais, mais il y avait des gens dépendant de la société… Alors, j’étais en train de me débarrasser de liens que j’avais avec eux, un à un. Les faire disparaître. Ils voulaient la société ? Très bien, mais je prenais le temps de garder une minuscule part de cette entreprise. Rien que pour avoir une rente et être un peu plus en paix. Peut-être que lorsque j’aurais trouvé un nouvel emploi je pourrais tout couper ? Pour l’instant je communiquais pour un travail en salon de thé, mais rien n’était fait.
Je me frottai la joue avant de prendre mon nouveau portable, merci Jake, avant de composer le numéro de Clyde. J’inspirai profondément avant de composer un sms.
« Salut. C’est Zi. »
Premier message. OK. La suite peut-être Zi ? Histoire de ne pas le laisser attendre.
« Je sais pas si t’es rentré, mais si tu veux qu’on parle, tu peux venir cet après-midi. »
Je lui envoyai en troisième message avec l’adresse avant de poser mon téléphone. Je soupirais longuement avant de m’approcher de la cuisine pour essayer de faire un éclair, salé, parmesan et poivron, je devais encore faire d’autres tests pour être satisfaite de l’équilibre. Ce n’était pas aussi facile que cela en réalité.
On frappa à la porte, j’étais en train de découper quelques fraises. Je faisais un fraisier vegan pour Jake. Il était presque prêt manquait quelques fraises sur le dessus. Je me tendis aussitôt pour m’approcher lentement de la porte, couteau toujours en main. Je n’étais pas sûre de qui c’était… et j’avais particulièrement peur. Je devenais parano… Je vérifiais par l’œilleton. Clyde. J’ouvris la porte, pas totalement même, entrebâillement, en regardant Clyde par en dessous.
« Salut. »
Qu’est-ce que j’étais censée dire d’autre ?
Je me frottai la joue avant de prendre mon nouveau portable, merci Jake, avant de composer le numéro de Clyde. J’inspirai profondément avant de composer un sms.
« Salut. C’est Zi. »
Premier message. OK. La suite peut-être Zi ? Histoire de ne pas le laisser attendre.
« Je sais pas si t’es rentré, mais si tu veux qu’on parle, tu peux venir cet après-midi. »
Je lui envoyai en troisième message avec l’adresse avant de poser mon téléphone. Je soupirais longuement avant de m’approcher de la cuisine pour essayer de faire un éclair, salé, parmesan et poivron, je devais encore faire d’autres tests pour être satisfaite de l’équilibre. Ce n’était pas aussi facile que cela en réalité.
On frappa à la porte, j’étais en train de découper quelques fraises. Je faisais un fraisier vegan pour Jake. Il était presque prêt manquait quelques fraises sur le dessus. Je me tendis aussitôt pour m’approcher lentement de la porte, couteau toujours en main. Je n’étais pas sûre de qui c’était… et j’avais particulièrement peur. Je devenais parano… Je vérifiais par l’œilleton. Clyde. J’ouvris la porte, pas totalement même, entrebâillement, en regardant Clyde par en dessous.
« Salut. »
Qu’est-ce que j’étais censée dire d’autre ?